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Joseph Tin Yum Wong
Hong Kong University of Science and Technology
Hong Kong
Publié le 11 septembre 2024 DOI : 10.21494/ISTE.OP.2024.1200
La plupart des dinoflagellés ont des cycles de vie complexes (figures 5, 12), comprenant des cellules d’essaims libres, des formes coccoïdes non mobiles et des kystes au repos (figure 24,25). De nombreuses espèces présentent une bioluminescence (« larmes bleues » figures 15-19) et une toxicité concomitante qui peut s’accumuler tout au long de la chaîne alimentaire et se manifester par des syndromes d’intoxication humaine par les mollusques (Note 2). La plupart des formes libres sont mixotrophes, avec la capacité de photosynthèse et de collecte de nourriture à partir de la lumière. Les dinoflagellés symbiotiques forment une relation symbiotique avec les coraux ; l’arrêt des opérations bidirectionnelles entraînera le blanchissement des coraux (figures 11-14) et la disparition de nos écosystèmes de récifs coralliens. Les cellules de l’essaim de dinoflagellés ont des flagelles avec un mouvement tourbillonnant (grec = dino) (figures 1-4), et peuvent effectuer une migration verticale entre différents plans d’eau pour accéder à une meilleure parcelle de nutriments. De nombreuses espèces sont contre-intuitivement sensibles aux turbulences et ont tendance à s’agglomérer dans les eaux stagnantes, ou comme dans le cas des dinoflagellés symbiotiques, à l’intérieur de leurs hôtes coralliens habituels. Les vastes mers de « proliférations » de dinoflagellés se terminent souvent par des eaux peu profondes ou se transforment en kystes « au repos » qui coulent dans les sédiments benthiques et attendent un meilleur moment ; l’expérience de la vie, de la prolifération et du kyste des dinoflagellés est adoptée comme scénario dans cette « communion art-science. » Le thème principal étant le soi-même et Adieu ma concubine (figure 6). Les individus d’une prolifération, malgré les apparences, ne sont pas les mêmes, car les différentes parties du plan d’eau sont différentes. Certains sont plus près de la surface avec une irradiation et exposition, d’autres sont masqués par la prolifération et font face au benthique avec une condition anaérobie potentielle. La ou les moyennes mobiles sont composées de différents sois, les images exercées et préceptées de soi, peut-être photo-acclimatées et changeant de composition photopigmentaire. Adieu con combiner les différentes étapes du cycle de vie, ce sont tous les mêmes dinoflagellés, avec des épigénétiques et des transcriptomes différents.
Most dinoflagellates have complex life cycles (figures 5, 12), comprising free swarmer cells, non-mobile coccoid forms, and resting cysts (figures 24,25). Many species exhibit bioluminescence (’blue tears’ figures 15-19) and may produce toxins that accumulate through the food chain, manifesting as shellfish poisoning syndromes (Note 2). Most free-living forms are mixotrophic, with capacity of photosynthesis and obtaining nutrients from their environment. Symbiotic dinoflagellates form a symbiotic relationship with corals; cessation of the two-way operatives will lead to coral bleaching (figures 11-14), and demise of our coral reef ecosystems. The dinoflagellate swarmer cells have two flagella which perform a whirling movement (Greek = dino) (figures 1-4), enabling them to conduct vertical migration between different water bodies to access better nutrient patches. Many species are counter-intuitively sensitive to turbulence, and tend to aggregate in stagnant water, or as in the case of symbiotic dinoflagellates habituated inside their coral hosts. Vast ’blooms’ of dinoflagellates often end as waters shallow, or they transform into ’resting’ cysts that sink to benthic sediments to await more favourable conditions. This bloom-to-cyst life cycle is adopted as the storyline in this ScienceArt Commune, focusing on the concept of ’self-one’ and ’farewell my concubine’ (figure 6). Individuals within a bloom (Figure 18), despite appearances, are not identical, as different parts within the water body is different. Some cells are closer to the surface with higher irradiance and exposure, while others are screened by the bloom and face potential anaerobic conditions near the bottom. The moving average(s) are composed of different self-ones, as well as perceived self-images, perhaps photo-acclimatised and changing in photopigment composition. Fare-well con combine the different life cycle stages, they are all the same dinoflagellates, with different epigenetics and transcriptomes.
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