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Le domaine historique du Château-Neuf s’étendait en terrasses sur le coteau du Pecq depuis Saint-Germain-en-Laye jusqu’aux bords de la Seine favorisant ainsi l’installation de vastes jardins. Au début du XVIIe siècle, la construction des terrasses bénéficia des techniques en art des jardins de la Renaissance italienne expérimentées par les architectes des rois de France lors de séjours en Italie et adaptées à l’esthétique des jardins français. Du fait de sa position en plateau sur la cinquième terrasse, le premier Jardin vit se succéder de grands paysagistes dont André Le Nôtre sous le règne de Louis XIV. Au XIXe siècle, les jardins des terrasses, séparés par une voie départementale, évoluèrent alors différemment. Au côté sud du domaine, la présence du pavillon du Jardinier, actuel pavillon Sully, et de ses notables propriétaires membres de la Société d’Horticulture de St Germain, permit d’entretenir ces oeuvres paysagères. Ainsi, la partie sud des parterres de buis a poursuivi la tradition de l’art des jardins à la française. Cependant, un micro-climat, favorisé par le relief du site, a aussi participé au développement des parterres de ce côté. L’étude des courbes altimétriques montrent que, lorsque les terrasses sont les plus abruptes, la surface exposée au soleil des grands murs de soutènement encourage les cultures horticoles dans la partie basse. Grâce aux archives de vues aériennes, le côté sud révèle des parterres de jardins horticoles alors que le côté nord du site est plus urbanisé et occupé par des propriétés privées aux jardins réduits.
Cette étude a pour objet d’apporter des indices historiques sur l’entourage, les influences et les convictions du prodigieux peintre Raphaëllo Sanzio dit « Raphaël ». La redécouverte d’une œuvre qui serait le portrait de Chiara Fancelli a permis de mettre en lumière l’évolution et les compétences artistiques du peintre. Ce portrait à l’effigie de Marie-Madeleine est un dépassement flagrant du modèle rigide du Maître Pérugin et se rapproche dans sa technicité et dans sa splendeur des œuvres et de l’esprit de Léonard de Vinci.
Né en France dans un milieu universitaire très littéraire, mais passionné, depuis la petite enfance par les animaux, l’auteur montre comment à travers divers épisodes de l’enfance, de la jeunesse et de la maturité, peut se former un double attrait puissant pour la biologie et pour la poésie. Ce parcours original l’a finalement conduit à être à la fois scientifique et poète, deux activités a priori bien différentes. Ce cheminement double ne va pas sans certaines surprises ou certaines difficultés que l’auteur ne manque pas de souligner.
Né en France dans un milieu universitaire très littéraire, mais passionné, depuis la petite enfance par les animaux, l’auteur montre comment à travers divers épisodes de l’enfance, de la jeunesse et de la maturité, peut se former un double attrait puissant pour la biologie et pour la poésie. Ce parcours original l’a finalement conduit à être à la fois scientifique et poète, deux activités a priori bien différentes. Ce cheminement double ne va pas sans certaines surprises ou certaines difficultés que l’auteur ne manque pas de souligner.
Aizome, or indigo dyeing, is one of Japan’s traditional dyeing methods. The dye required for this indigo dyeing process is produced by microbial reactions. In Japan, artisans called "aishi" are responsible for the production of this fermentation product, called sukumo, which is necessary for indigo dyeing. The production of sukumo has long relied on the experience and intuition of these craftsmen, but in recent years microbiological analysis has been introduced. This column gives an overview of the sukumo production process, which is not yet fully understood scientifically, and presents the fact that the ancient Japanese fermentation technique has found its way not only into the food and pharmaceutical industries, but also into the fields of dyeing and fashion.
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