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Grace Twite
Université de Lubumbashi
Congo (RD)
Sylvain Balume
Université de Lubumbashi
Congo (RD)
Published on 11 January 2023 DOI : 10.21494/ISTE.OP.2023.0918
The national electrification rate in the Democratic Republic of Congo (RDC) is currently 9%, or only 1% if only rural areas are considered (where 75.8% of the Congolese population lives). The opportunities however are endless – the rich natural and mineral resources of the country rank it among the richest in the world [NKU 06]. The aim of this study is to determine the challenges and prospects of exploitable energy used in urban areas. We do this by examining the city of Lubumbashi. After analyzing the results, we noticed that in the CRAA district there is a disproportionate use of energy sources distributed between hydroelectric energy (23%), coal (wood energy) (12%) and generators (petroleum energy) (45%). Priority is being given to the national electricity company (Société nationale d’électricité – SNEL), which offers sufficient energy but its services are rated lower, with an average rating of 40%. The more desirable panels are relatively expensive compared to the income of the population, and so it has been projected that, between 2000 and 2030, hydroelectric energy will rise from 36 to 38%; coal consumption will fall from 48 to 8%; and energy consumption will fall from 7.3 to 2%. However, in spite of the changes, according to all these projections, by 2030 the per capita consumption figures for renewable energy will still have a too high percentage in terms of energy growth for renewable energies – around 52%.
Le taux national d’électrification en République Démocratique du Congo (RDC) est actuellement de 9%, soit seulement 1% si l’on ne considère que les zones rurales (75,8% de la population congolaise). Les opportunités sont pourtant infinies avec les riches ressources naturelles et minérales du pays le classant parmi les plus riches au monde [NKU 06], l’objectif de cette étude est de déterminer les défis et perspectives de l’utilisation énergétiques exploitables en milieu urbain en faisant un état de lieu sur la ville de Lubumbashi. Après analyse des résultats, nous avions remarqué dans le quartier CRAA, une utilisation disproportionnée des sources énergétiques reparties entre l’énergie hydroélectrique à 23%, le charbon (énergie de bois) à 12%, le groupe électrogène (énergie pétrole) à 45%. La priorité étant accordée à la société nationale d’électricité (SNEL) qui offre une énergie suffisante mais ses services sont moins cotés à une cote de 40% la moyenne, les panneaux étant apprécies sont relativement chers par rapport aux revenus de la population, une projection énergétique de 36 à 38 pour cent entre 2000 et 2030 pour l’Energie hydro-Electrique, de 8,7 à 52 pour cent entre 2000 et 2030, pour la consommation en Charbon de 48 à 8 pour cent entre 2000 et 2030 ainsi que la consommation d’Energie pétrolière de 7,3 à 2 % entre 2000 et 2030. Cependant, d’après toutes ces projections, les chiffres relatifs à la consommation par habitant pour les énergies renouvelables auront d’ici 2030 un pourcentage trop élevé en termes de croissance énergétique pour les énergies renouvelables environs 52%.
Energy use; Renewable energy; Wood energy; Petroleum energy
Utilisation Energétique ; Energie Renouvelable ; Enénergise bois Energie pétrole