@ARTICLE{, TITLE={Revue de la littérature sur les tests mécaniques passifs et actifs aux différentes échelles du muscle squelettique}, AUTHOR={Yoann Tatarenko, Philippe Pouletaut, Simon Chatelin, Sabine F. Bensamoun, }, JOURNAL={Etat de l’art en Bioingénierie}, VOLUME={2}, NUMBER={Numéro 1}, YEAR={2022}, URL={https://openscience.fr/Revue-de-la-litterature-sur-les-tests-mecaniques-passifs-et-actifs-aux}, DOI={}, ISSN={}, ABSTRACT={Le muscle squelettique humain est un tissu complexe et hiérarchisé (muscle, fibre, myofibrille) similaire à celui du petit rongeur utilisé pour étudier les propriétés mécaniques des muscles sains et pathologiques (par exemple chez la souris mdx qui modélise la myopathie de Duchenne). Les enveloppes de collagène, les filaments d’actine et de titine sont les structures impliquées dans les propriétés mécaniques passives. Les propriétés mécaniques actives sont reliées à la formation des ponts actine-myosine. Cet article présente les tests mécaniques les plus couramment utilisés pour mesurer in vitro, à différentes échelles, les comportements passifs (test d’étirement progressif incrémental, test d’étirement-relâchement, test de compression, test de fatigue-récupération, test de contraction excentrique) et actifs (test en force-fréquence, test avec des contractions courtes et longues) du muscle chez le petit animal. La section suivante de cette revue de la littérature couvre la nécessité de protocoles in vivo pour être au plus près des conditions physiologiques, permettant de maintenir l’animal en vie et ainsi de réaliser des études mécaniques longitudinales, avec la présentation de méthodes d’imagerie (élastographie par ultrasons et par IRM) chez des rongeurs vivants. Enfin, les principaux facteurs (hétérogénéité des protocoles, vieillissement, etc.) influençant les propriétés mécaniques sont présentés.}}