Augustin Berque
professeur émérite à l’EHESS (Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales)
Published on 14 January 2020 DOI :
Le thème du paysage ne s’oppose pas, et même invite aux échappées surréalistes. En voici une comme entrée en matière. Par suite d’une peu croyable coïncidence de dates, et aussi de la parenté des thèmes, j’avais depuis des mois confondu deux colloques dans mon agenda : l’un organisé à Paris du 23 au 24 mai 2019 sous le titre « Le regard écologique », l’autre à Toulouse du 22 au 24 mai sous le titre « Approches écosystémiques et sensibles du paysage : des sciences de la nature aux arts du paysage ». Programmé dans les deux colloques, mais ne pouvant me dédoubler, j’avais dû in extremis me résoudre à choisir le premier, auquel je m’étais engagé d’abord. Quant au second, je remercie Anaïs Belchun de me donner la chance de me rattraper avec cette petite préface, en effectuant la boucle que voici :
Le thème du paysage ne s’oppose pas, et même invite aux échappées surréalistes. En voici une comme entrée en matière. Par suite d’une peu croyable coïncidence de dates, et aussi de la parenté des thèmes, j’avais depuis des mois confondu deux colloques dans mon agenda : l’un organisé à Paris du 23 au 24 mai 2019 sous le titre « Le regard écologique », l’autre à Toulouse du 22 au 24 mai sous le titre « Approches écosystémiques et sensibles du paysage : des sciences de la nature aux arts du paysage ». Programmé dans les deux colloques, mais ne pouvant me dédoubler, j’avais dû in extremis me résoudre à choisir le premier, auquel je m’étais engagé d’abord. Quant au second, je remercie Anaïs Belchun de me donner la chance de me rattraper avec cette petite préface, en effectuant la boucle que voici :